Les jeunes gens font alors appel à Bertrand Lepage (un éditeur de musique auréolé du succès récent de Jacky Quartz avec le tube « Juste une mise au point »), qui accepte de défendre le titre dans les médias.
Une seconde pochette en couleur, plus visible, voit le jour, ainsi qu’un maxi-45 tours et une version anglaise, « My mum is wrong », qui fait un flop mais est à ranger aujourd’hui dans les raretés plus que recherchées. Ces nouveaux éléments marketing sont néanmoins déterminants, puisque, au final, « Maman a tort » acquiert une petite notoriété, et qu’il se vend prés de 100 000 copies (estimation).
Mylène commence également à multiplier les télévisions et les galas. Sa première grosse promotion en prime time se fait dans l’incontournable Champs-Elysées, émission au cours de laquelle Michel Drucker lui demande si son tube est « un coup comme on dit », ou si elle souhaite continuer dans ce métier, O surprise, la jeune naïade réponde qu’elle souhaite continuer !